Objectifs :
- Savoir identifier les sources d’erreurs
- Acquérir un protocole de restauration antérieur esthétique et reproductible
- Acquérir un protocole de restauration postérieur fiable et efficace.
Responsable scientifique :
LUCILE DAHAN
Intervenants :
CÉDRIK BERNARD
Les clefs des composites postérieurs
GRÉGORY CAMALEONTE
Comment ne pas rater son composite antérieur
Résumé :
Les restaurations en résine composite sont devenues un acte de routine. Et pourtant, même en faisant cet acte tous les jours, il nous arrive encore de le rater. Qui peut se vanter d’avoir réussi 100% de ses points de contact ? Pourquoi sommes-nous capables de faire un composite antérieur magnifique le matin et complètement hors sujet en début d’après-midi ? En tant que soignant, nous ne pouvons proposer une technique aléatoire. Evidemment, la base de la réussite des composites c’est le collage. Son protocole est aujourd’hui bien connu et on sait que la clé du succès réside dans la rigueur. Mais pour les restaurations en elle-mêmes ? Faut-il être un descendant de Michel-Ange pour restaurer une dent de manière « invisible » et durable ?
Heureusement, quand on se penche bien sur le sujet, on s’aperçoit que réussir ses restaurations en composite c’est en fait réussir une somme de petites étape-clés.
En antérieur il faut observer pour reproduire, avoir une technique de montage simple, fiable et reproductible et apprendre à polir pour jouer avec la lumière.
En postérieur il faut se concentrer sur la forme. Elle va conditionner les contacts occlusaux (sans avoir 30 minutes de retouches finales) et surtout les contacts proximaux.