Objectifs :
- Connaître les critères de choix d’un scanner intra-oral
- Comparer les précisions des différents systèmes en implantologie
- Connaître les moyens de validation d’une empreinte optique en implantologie.
Responsable scientifique :
Karim Nasr
Intervenants :
Karim Nasr
Quelle caméra choisir en 2025 ?
Arnaud Soenen
Limites de l’empreinte optique en implantologie et solutions alternatives : Intérêt de la photogrammétrie.
Chloé Mense
Précision et fiabilité des enregistrements numériques en implantologie
Sébastien Melloul
Validation et exploitation des empreintes optiques en implantologie : Les flux à privilégier et les pièges à éviter
Résumé :
Le scanner intra-oral, en captant et numérisant la situation clinique directement au fauteuil, représente la porte d’entrée de tout flux de travail numérique. Son choix, au sein d’une offre aujourd’hui très vaste, est donc un enjeu majeur. Les caractéristiques techniques et logicielles des différents systèmes doivent ainsi être connues et confrontées aux objectifs thérapeutiques cliniques.
En implantologie, la distorsion de l’empreinte optique reste la problématique essentielle. Plusieurs techniques ou accessoires ont été développés spécifiquement dans le but de la réduire. L’apport de la photogrammétrie à l’empreinte optique a été introduit pour préciser la position des implants avec des résultats convaincants. L’acquisition d’un équipement supplémentaire reste un inconvénient. Forts d’avancées technologiques ou logicielles, certains scanners intra-oraux semblent néanmoins avancer des valeurs de précision comparables.
Enfin, si compte tenu de ces incertitudes de précision et des couts de production des prothèses, la question de la validation de l’empreinte optique (comme en technique conventionnelle) demeure légitime, les moyens à mettre en œuvre restent peu codifiés. Or les pièges lors d’une rupture de chaine (passer du numérique à l’analogique) sont nombreux et doivent être évités sous peine d’impasse ou d’échec.