A7 – En finir avec le « Serrez et dites-moi si ça vous gêne… »

Objectifs :

- Savoir ajuster toute restauration afin de l'intégrer à l'occlusion initiale
- Proposer une alternative à celle qui consiste à se fier au ressenti du patient
- Apprendre à communiquer avec le patient sur cette étape d'ajustement

Responsable scientifique :

ANTONIN RAJ

Intervenants :

MÉLISSA BADEDJI

Résumé :

La reconstruction de toute (ou partie) d'une face occlusale, qu'elle soit réalisée en technique directe ou indirecte, est l'un des actes les plus courants de notre activité professionnelle.

L'objectif de toute restauration étant de s'intégrer à l'occlusion existante, statique et dynamique, il reste cependant rare d'obtenir ce résultat sans qu'un ajustement ne soit nécessaire.

La sous-occlusion est facilement identifiable et n'est jamais indiquée. Toute réhabilitation devrait donc être réalisée en sur-occlusion mineure, puis ajustée Deux pinces de Miller, des papiers marqueurs, ainsi que des fraises à la morphologie adaptée seront à prévoir.

Mais comment avoir la certitude que les contacts obtenus soient de la bonne intensité ? Faut-il se fier à l'avis du patient, en lui demandant si ça "le gêne" ? Existe t'il une autre option, reproductible et moins "patient dépendant" ?

L'objectif de cette séance est de proposer un protocole simple et applicable, dès le retour au cabinet, permettant d'optimiser et simplifier les ajustements occlusaux de nos reconstitutions.