Quatre questions à Nicolas Lehmann
Comment avez-vous musclé le programme scientifique de cette édition 2024 ?
J’ai construit ce programme avec mon Comité scientifique en abordant ce Congrès sur trois aspects essentiels : la clinique, l’excellence et la nouveauté. La clinique, en essayant de répondre à des problématiques quotidiennes de nos chirurgiens-dentistes. L’excellence, en sélectionnant des conférenciers aussi bien nationaux qu’internationaux.
Et quelles seront les nouveautés ?
Première grande nouveauté : c’est l’apparition au sein du programme de cycles de formation. Le praticien qui va s’inscrire à ce cycle aura une formation de six heures sur un thème spécifique, en ayant accès à des conférences, à des travaux pratiques et à une démonstration télévisée en direct sur patient.
La deuxième nouveauté concerne les séances 100 % vidéo. Le conférencier va nous présenter une problématique, à travers une vidéo qu’il aura réalisée dans son cabinet dentaire.
La troisième nouveauté, c’est une séance inaugurale inédite, puisque pour la première fois le Comité scientifique va y part, en réalisant des conférences et en mouillant la chemise.
Quel a été le mot d’ordre pour le Comité scientifique ?
J’ai demandé à mes dix experts d’établir un programme scientifique qui permette de répondre aux attentes et aux défis quotidiens des praticiens.
Pourquoi se former au Congrès ADF ?
L’avantage d’une conférence en présentiel, c’est l’interactivité, l’échange humain entre les apprenants et les conférenciers. C’est d’avoir aussi des travaux pratiques, de pouvoir échanger et d’avoir finalement une information et des acquis qui sont applicables directement le lendemain, au cabinet dentaire.
